Un petit moment de solitude pour Anzu et Monoko

Anzu entraîna Monoko dans le couloir et la plaqua sur le mur. Il l'embrassa avec force, très sensuellement. Il la voyait rougir, une chose qu'il aimait bien chez les filles.

*J'ai envie d'elle putin*

Il l'embrassa dans le cou en descendant jusque entre ses seins, puis il remonta son cou et l'embrassa avec passion.

*Il y a des questions que je me pose.. Elle m'a dit qu'elle m'aimait par accident, m'aime-t-elle ? Et que voulait-elle me dire dans la piscine ?*

Il arrêta de l'embrasser.

Monoko, je crois qu'il faut qu'on parle.. Certaines choses sont un peu floues..

Il la regardait droit dans les yeux, et ne détachait pas son regard d'elle.

Monoko fut rapidement étreinte par Anzu, qui la placa contre un mur du couloir et l'embrassa fougueusement.
*Qu'est-ce qui lui prend tout à coups ? C'est tant mieu hihi*

Puis Anzu embrassa le corps de Monoko dans son cou, entre ses seins, et remonta dans son cou et termina la course en l'embrassant passionément.

*Hou ça devient chaud.. Il veut qu'on fasse l'amour.. maintenant ? Non, en fait, il renifle ton corps pour trouver une moindre trace de bonne odeur.*
- Anzu.. qu'est-ce que..

Mais elle fut coupée par Anzu qui venait d'arrêter de l'embrasser :

"Monoko, je crois qu'il faut qu'on parle.. Certaines choses sont un peu floues.."
*Ah ? Qu'est-ce qui est flou ?*

Elle reprit :
- Hum.. ah oui ? où veux-tu en venir Anzu-kun ?

Monoko eut l'air de ne pas comprendre.

"Hum.. ah oui ? où veux-tu en venir Anzu-kun ?"

*OOooh elle est trop mignone avec son petit air innocent..Si Kyo était là, il me traiterait de pervers héhé*

Euh.. Ben, il y a deux choses dont je voudrais te parler.. Tu m'a avoué que tu m'aimais..et je me suis demandé si tu le pensais vraiment.. et puis, tu m'as demandé ce que je pensais de toi...Je tenais à te répondre. Tu es la meilleure chose qui me soit arrivé, j'aimerais que notre histoire dûre éternellement mais..je tiends d'abord à mettre les choses au clair avec toi. Tu es drôle, belle, intelligente, mature, mignone, attendrissante.. je ne trouve même plus d'adjectifs. Tu sais, tu ne devrais pas douter comme ça de toi, moi j'ai confiance en toi, je sais que jamais tu ne me décevras.. Tu compte vraiment à mes yeux et parfois je me dis que..ma vie me plait depuis notre rencontre..Et en regardant en arrière, ma vie était faite d'ennuie. Avant, j'étais froid, je ne parlais pas trop, j'évitais les gens trop immatures. Tandis que maintenant, ça m'est égal, puisque je suis à tes côtés. Que tu m'aime ou non, je suis heureux près de toi, et tant que cela dure, rien ne peut troubler mon bienêtre. Depuis que je te connais, j'ai été sincère et honnête avec toi, maintenant, si tu es sûre de tes sentiments, je veux que tu soit honnête à ton tour.

*Je n'ai rien d'autre à dire, elle sait tout maintenant, absolument tout.*

Monoko écouta attentivement le discours de Anzu, et elle devint très penssive.

*Il m'aime, et je sais que je l'aime.. De quelle façon devrais-je le lui dire ? Et puis il n'y a pas que cela, il veut que je sois honnête, comment lui dire pour ma maladie ? Va-t-il toujours m'aimer ? Et puis je suis bien à ses côtés moi aussi.. C'est la première chose que je devrais lui dire pour l'instant..Je pense que le reste viendra tout seul.. Et il te quittera en racontant à toute la résidence que tu es une pauvre folle schizophrène !!*

L'angoisse montait pour Monoko, d'autant plus que la voix lui mettait la pression mais elle devait lui dire, tout lui dire, elle devait être honnête avec lui, car elle était sûre de ses sentiments.

- Anzu-kun, j'ai trop de choses qui trottent dans ma tête que je voudrais te dire.. Je.. Je ne sais par où commencer.. Hum.. Je..J'ai pour toi une énorme affection, je crois même que tu es la chose à laquelle je tiends le plus, tu es mon bien le plus précieux.. Et en ce qui concerne mes sentiments, une chose est sûre, et il faut que je te l'avoue, Anzu, je t'aime.. Je t'aime de tout mon coeur et de toute mon âme, toi seul compte à mes yeux. Et si tu m'aime au moins autant que je t'aime, j'espère que tu comprendras ce que je suis sur le point de te dire, et que je n'ai dit à personne jusqu'à maintenant.

Elle devint toute tremblante.

- Tu sais, quand j'ai atteint mes neuf ans, j'ai commencé à ressentir des choses bisarres dans mon esprit, une voix étrange me disait des choses terribles, elle me poussait à bout, elle m'insultait.. Cette voix était très faible au début, mais au fure et à mesure que les années passaient, cette voix s'emplifiait, et m'envahissait dans mon intimité, et cela presque constamment. Je subis des rabaissements, c'en ai parfois même déprimant. J'ai fait des recherches quand j'avais quatorze ans, j'ai découvert que c'était la schizophrénie, c'est comme un trouble de la personnalité.. Tu dois trouver cela bisarre.. tu dois me prendre pour une folle furieuse et tu ne voudras sans doute plus m'approcher ni même m'embrasser.. Mais ej suis sûre de mes sentiments pour toi, donc je suis honnête avec toi quelqu'en soient les concéquences.

Monoko n'osait regarder Anzu dans les yeux, elle regardait le sol et restait bouche bée. Son coeur battait la chamade, ce fut la plus grande peur de sa vie, elle eut terriblement peur qu'Anzu décide de rompre tout contact avec elle.

Anzu fut très surprit de la déclaration de Monoko. Elle lui avait avoué tous ses secrets, ses sentiments envers lui. Il y eut un moment de silence, Anzu était songeur mais un echose était sure pour lui.

*J'aime Monoko, et même si je ne connais pas grand chose de cette maladie, je l'aiderais à la vaincre et à en venir à bout.*

Il prit monoko par la main, il prit son menton de l'autre, la regarda fixement dans les yeux et dit, avec la voix que tous les hommes amoureux ont envers leur petite amie :

Monoko, je t'aime, et je serais là pour t'aider à vaincre ta maladie, et pas que cela, s'il y a quoi que se soit que j'ai la possibilité de faire pour toi, je le ferais. Quoi qu'il arrrive nous resteront toujours unis, promets-le moi.

Les battements du coeur de Monoko devinrent plus lents, et son angoisse disparue presque.
*Tendre, attentioné, gentil.. Je ne le mérite pas..*

- Anzu..ça me rend mal allaise.. Tu es si parfait alors que moi..je te raconte mes défauts et cette maladie qui doit sûrement faire de moi une autre personne à tes yeux..

Monoko était rassurée, Anzu n'avait pas l'intention de s'en aller, il resterait avec elle et l'aiderait de tout son coeur. Mais elle eu peur que les choses changent entre eux.

Tu sais Monoko, avant de sortir avec toi, j'avais déjà remarqué que quelque chose clochait dans ton comportement des fois. Et ça en m'a pas empêché de sortir avec toi, loin de là. Cette maladie fait de toi quelqu'un de spécial et j'aime qu'une fille ne soit pas comme les autres.J'aime découvrir de nouvelles facettes de sa personnalité. Ca ne change absolument rien de ce que je pense et ressens pour toi. Et puis tu sais, je ne suis pas parfait, je peus te raconter pleins de choses qui te dégouteraient de moi. J'ai arrêter de faire pipi au lit à 7 ans et demi, je suçait encore mon pouce à cet âge là. J'ai déjà manqué une journée de cours parce que j'avais la diharrée. La première fois que je t'ai vue, dans ton bikini rouge, tu m'a vachement exité, il s'est passé des choses sous l'eau pour moi en tout cas... je peus aussi te dire que des fois, quand ma mère me manque un peu, je serre fort dans mes bras une peluche qu'elle m'a offert depuis ma naissance..
*J'ai peut-être un peu trop parlé là..*

Anzu voulait que Monoko voit qu'il n'était pas parfait. Et que Monokopouvait lui faire confiance.

Anzu eu l'extrême sagesse de déballer une partie de sa vie à Monoko... une partie gênante de sa vie.

"Tu sais Monoko, avant de sortir avec toi, j'avais déjà remarqué que quelque chose clochait dans ton comportement des fois. Et ça en m'a pas empêché de sortir avec toi, loin de là. Cette maladie fait de toi quelqu'un de spécial et j'aime qu'une fille ne soit pas comme les autres.J'aime découvrir de nouvelles facettes de sa personnalité. Ca ne change absolument rien de ce que je pense et ressens pour toi. Et puis tu sais, je ne suis pas parfait, je peus te raconter pleins de choses qui te dégouteraient de moi. J'ai arrêter de faire pipi au lit à 7 ans et demi, je suçait encore mon pouce à cet âge là. J'ai déjà manqué une journée de cours parce que j'avais la diharrée. La première fois que je t'ai vue, dans ton bikini rouge, tu m'a vachement exité, il s'est passé des choses sous l'eau pour moi en tout cas... je peus aussi te dire que des fois, quand ma mère me manque un peu, je serre fort dans mes bras une peluche qu'elle m'a offert depuis ma naissance.."

Monoko fut entièrement rassurée par les propos de Anzu. Elle ne put se retenir de poser une question à Anzu.

- C'est vrai ? Ca t'as excité ? ... Si tu veux.. je peus le refaire. dit-elle en lui faisant un clin d'oeil.
*Anzu a toujours autant de charme, même en sachant des choses ridicules de lui..*

Karin qui se promenait tranquillement, deux gros sacs de courses dans les mains - d'où dépassait un gros poireau dans l'une et une baguette de pain de l'autre (-> gros cliché) - écouta attentivement TOUTES les confidences du jeune homme, en esquissant un petit sourire.

"J'ai déjà manqué une journée de cours parce que j'avais la diharrée."

*Toute la journée ?! Qu'est-ce qu'il avait mangé ?? o.o*

Puis son sourire s'agrandit et pris un air moqueur quand Monoko lui répondit, c'est là qu'elle décida d'intervenir dans leur petite discussion -après tout, elle devait bien passer par là pour aller ranger ses courses.

-Ah, les jeunes ! Ils sont de plus en plus précoces ! Enfin les filles surtout parce que faire pipi au lit jusqu'à 7 ans... Elle jeta un regard insistant au jeune homme.

-Vos noms ? elle ajouta sur le ton de la confidence : J'vais pas vous manger, hein !

Pendant que Monoko chauffait un peu Anzu, elle entendit une voix, la voix d'une jeune femme.
Monoko jeta un regard de désespoir vers Anzu, qui semblait être aussi gêné qu'elle.

*Gloups.. Elle a tout entendu ? A-t-elle entendu quand j'ai avoué à Anzu ma schizophrénie ?*
"Ah, les jeunes ! Ils sont de plus en plus précoces ! Enfin les filles surtout parce que faire pipi au lit jusqu'à 7 ans... Vos noms ?J'vais pas vous manger, hein !"

*Merde, elle a tout entendu sur Anzu.. mais sur moi ?*

Monoko fut très gênée que la gérante ait tout entendu de leur conversation intime.
*Ne pas paraître gênée, ne pas paraître gênée, ne pas paraître gênée...*

- Euh.. *ne pas paraître gênée..* .. Je m'appelle Monoko Kamishiwa, et voici mon petit ami Anzu Hiroshiwa..
*Héhé, j'avais jamais remarqué que ça finissait tous les deux par "shiwa" *

Monoko remarqua les sacs de la gérante, et eu le réflexe de lui prendre un sac et de lui proposer son aide.

- Tiens, je vais t'aider, où dois-tu les poser ? dit-elle jetant un oeil à l'intérieur du sac qu'elle tenais dans ses bras. *Tiens, il y a des poireaux.. Mon Dieu quel horreur !! Je déteste les poireaux !!! Rien que l'odeur me donne envie de vomir aaaah !! Moi, c'est toi qui me donne envie de vomir*

Puis elle fit une grimace de dégout.

Karin remarqua la grimace de dégoût de Monoko en apercevant le poireau et elle éclata de rire :

-Ah, toi aussi tu détestes les poireaux ? Moi je ne supporte même pas leur odeur ! Mais Asami veut faire sa "fameuse tarte" alors pour lui faire plaisir, je suis bien obligée !

Elle tendit la poche contenant le poireau à Anzu, avec un grand sourire : Tu n'as qu'à la porter, toi ! n_n

Puis à l'étonnement général, elle ne se contenta pas de donner une seule poche, elle passa l'autre à Monoko. *Les gens gentils et serviables sont si naïfs, que j'aime me servir d'eux ^^ !*

-Allez, suivez-moi ! Nous allons dans mon bureau ranger tout ça ! ^.^ Puis elle se ravisa soudain, se rappelant que le couple ignorait toujours son identité.
-Oh ! Excusez-moi, je ne me suis pas présentée : Karin Yamazaki, gérante de cet établissement, enchantée !

Anzu, qui n'avait rien demandé, se retrouva à porter le sac à poireaux.

*Ca me dérange pas, j'aime bien les poireaux et puis.. si je peux empêcher ce calvaire à Monoko-san, ça me va!*
- Ok, pas de problème pour moi.
Puis la jeune femme dit au petit couple de les suivre.

"Allez, suivez-moi ! Nous allons dans mon bureau ranger tout ça !"

*Son bureau ? On a le droit d'avoir un bureau dans la résidence ? Oh, je vais en demander un, comme ça si Monoko et moi couchons à nouveau ensemble, on ne sera pas dérangés dans un bureau héhé*

Puis l'inconnue s'arrêta net. Elle dit soudain :

"Oh ! Excusez-moi, je ne me suis pas présentée : Karin Yamazaki, gérante de cet établissement, enchantée !"

*Encore une gérante !! Mais y'en a combien ?*

Puis Anzu réfléchit puis fit une grimace.

*Hooo.. si c'est une gérante, ça veut dire qu'elle a son bureau pour travailler, donc on ne peut pas avoir un bureau nous aussi... Bon ben notre seconde fois à Monoko et moi sera dans une chambre ou mieu.. sur le toit !!!*

Il y eu un grand silence.
Puis Anzu dit :

Euh ya combien de gérantes ici ?

*...ou dans la laverie... ou même dans la piscine le soir...*

La jeune fille se présenta comme une gérante, et dit son nom.
*Karin.. J'ai encore du mal à savoir si je l'ai déjà vue celle-là. non... si .... non. je l'ai jamais vue*

Puis Anzu curieux, demanda à Karin combien de gérantes il y avait à la résidence.
"Euh ya combien de gérantes ici ?"

Anzu ne paraissait pas très gêné que Karin les ait écoutés. Peut-être que les révélations qu'il avait fait à Monoko en le dérangeait pas ou ne le choquaient pas..

*Il a l'air si serein, moi je stresse comme une folle, alors que lui il est zen, il ne se préoccupe pas de ce qu'elle pense ni de ce qu'elle a entendu au juste.. Je suis quand-même curieuse de savoir si elle sait mon secret.. Tu parles de moi là?*

Monoko répondit à la question de Anzu avant même qu'elle n'ouvre la bouche.
- Je pense qu'il y a trois gérantes ici Anzu-kun. Et elle lui fit le plus joli sourir qu'elle ne lui avait jamais fait.

- Hum.. Karin-san.. ça ne vous dérange pas que je vous appelle comme ça j'espère.. Qu'avez-vous entendu de notre conversation au juste ? Enfin, quand êtes-vous arrivée ?

Karin, satisfaite que Monoko réponde elle-même à la question d'Anzu, n'écouta que d'une oreille ce que lui demanda Monoko et elle répondit distraitement (sans prendre ça vraiment au sérieux) :
-Bah j'ai TOUT entendu !! hihi et Tu as raison, nous sommes trois gérantes ici !

Puis elle fit volte-face, ses cheveux tourbillonant autour d'elle, tel un panache de voile noir. Venez, c'est par ici ! Et elle s'engagea dans l'escalier qui montait.
Elle se laissa dépasser mais quand Anzu passa près d'elle, elle lui glissa à l'oreille :

-Tu veux que je vous donne une chambre pour couple, peut être ? ... Je dis ça parce que j'ai remarqué la façon dont tu la regardes, on dirait que tu vas te jeter sur elle d'un moment à l'autre... Puis elle dit plus fort : Hihi c'est touchant, à votre âge, les garçons ne pensent qu'à ça !

Monoko sembla perturbée par ce que la gérante aurait entendu. Celle-ci n'eu pas l'air choquée par ce qu'elle avait appris car elle déclara :

"Bah j'ai TOUT entendu !! hihi et Tu as raison, nous sommes trois gérantes ici !"

*Maintenant que j'y pense.. Si elle a tout entendu...elle sait le secret de Monoko..Elle doit être terriblement gênée..*

Euh Yamazaki-san, promettez-moi que ce que vous avez entendu restera entre nous !

*Elle peut répéter ce qu'elle a entendu sur moi ça n'a pas d'importance, mais personne ne gachera le bonheur de Monoko !*

Anzu fixa la gérante droit dans les yeux et ne détacha pas son regard, même pas pour cligner des yeux.
Karin répondit avant de dire :

"Tu veux que je vous donne une chambre pour couple, peut être ? ... Je dis ça parce que j'ai remarqué la façon dont tu la regardes, on dirait que tu vas te jeter sur elle d'un moment à l'autre... Hihi c'est touchant, à votre âge, les garçons ne pensent qu'à ça !"

*Cette femme est vraiment dérangée..mentalement..*

Euh c'est une curieuse idée et.. je veux connaître l'avis de Monoko avant tout.

Anzu fit preuve de méprit envers la gérante qui semblait ne pas se préoccuper de ce qu'entrainerais ses actes si elle s'avisait de trop parler.

La gérante avoua qu'elle avait tout entendu..ce qui ne laissa pas Monoko indiférente.

*Tout..absolument tout.. je suis fichue..demain, toute la résidence sera au courant.. je devrais alors partir..quitter Anzu-kun..Pitié non !! Surtout pas Anzu !! Haha, les choses deviennent interressantes tout d'un coups..*

Anzu chercha à protéger le secret de Monoko en avertissant la gérante et Monoko en fit de même.
- Oui je vous en prie, ne répétez pas le moindre mot sur tout ça.

L'insouciante proposa au petit couple de prendre une chambre à deux. Anzu trouva que l'idée était étrange.
"Euh c'est une curieuse idée et.. je veux connaître l'avis de Monoko avant tout"

*C'est gentil de penser à moi avant tout.. mais..*
- Ecoute Anzu-kun, je ne sais pas si je suis encore prête à ce stade là..c'est comme si on habitait ensemble et.. j'ai besoin de réfléchir à l'idée de perdre mon intimité..

[Hj : on va dire que vous m'avez demandé de ne rien répéter APRES ma question et après avoir parlé des chambres parce qu'il ne faut pas changer l'ordre des paroles (hein Anzu, tu peux pas faire comme ça t'arrange avec ce que je dis et caser des dialogues ici et là...), après je ne peux plus jouer comme je voulais >.<]

Anzu ne souleva pas la remarque et lui demanda, sérieux comme un roc, de ne rien répéter... Une vague du mépris qu'il éprouvait à son égard s'infiltra en elle, et elle fut prise de frissons...
* Alors c'est comme ça, ils parlaient de quelques chose de sérieux...*

Et, tel un comédien qui enlève pour la première fois son masque, elle leur révéla son vrai visage.
Ses paupières se baissèrent, et tout air candide et naïf disparut de son visage, on aurait dit qu'elle avait pris 10 ans d'un coup, son sourire avait disparu. Elle fixa le jeune homme intensément avec une pointe de sarcasme... Elle avait l'air tout à coup plus rusée que n'importe qui...

-Je ferais toujours de mon mieux pour le bohneur des résidents, et jamais je n'irais divuguer sur les toits, des choses importantes à vos yeux, je ne suis pas stupide...

Puis elle remit son masque et redevint aussi bête et tête en l'air qu'avant... Ce fut tellement bref et étrange, que l'on pouvait croire à une illusion...

-Muette comme une carpe ! hihi *Même si en réalité je ne sais rien...* Et sinon je vous laisse réfléchir pour la chambre de couple, daccord ? C'est vrai que c'est mieux d'avoir chacun son intimité !

Elle désigna le couloir de droite du doigt : C'est par là !